Il était une fois, une poétesse,
Qui chante, l’amour sans cesse,
Dans son inimaginable forteresse,
Qui fait languir, et donne le stresse,
J’ai dit beauté, dont tu te réserves,
Et se charme, que tu caches et préserves,
Ton air hautain, fait languir les maitres,
L’amour serein, c’est ta raison d’être,
L’œil cherche et trouve, l’être de son désir,
Un vigoureux ardent, qui donne tant de plaisir,
Surtout un jeune, ayant un corps harmonique,
Pour celle connaissant, les leçons diaboliques,
Vivre une belle, soupirant le désir épanoui,
Pendant que le plaisir, et l’envie se réjouissent,
À la chandelle, et le parfum et l’habit transparent,
Vibrer les senteurs sublimes, au gout inapparent,
J’aime bien vivre, avec l’hystérique un combat,
D’un rival à un rival, tantôt haut et tantôt bas,
Jusqu'Ã que le temps, hausse ses sensations,
Pour chérir les voluptés, et la grande passion,
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les années de disette dictent les poètes