Grand mère
Je te vois encore charmante dame autoritaire
Tu vis encore dans cette grande maison
Au milieu d'un paradis de palmeraies_ Fière
Tu marche encore et je te vois fais de toi mon attention
Aujourd'hui enfin "grand" je te regrette solitaire
Il n'y a plus que le souvenir unique profond
Que je t'ai toujours aimé sans bien te connaître
Mais je n'étais qu'un pauvre misérable petit garçon
Et d'étés en étés je rejoignais le Maroc pour te voir
Les liens familiaux sont importants chez nous
Né à Toulouse en France je ne peux que trop bien le savoir
Grand mère je demande à Dieu de ne plus te décevoir
L'été est l'hiver et le printemps est l'automne _ ô flou
Mon cœur a quitté avec toi ce bas monde je ne veux plus vouloir !
Ybra