Il y avait, dans le bois ou dans le vide, des petits êtres fragiles qui chantaient leurs mille couleurs à la saison des fleurs. Il y avait aussi des petites boules de poils qui sautillaient ou lorsque la forêt s’empourprait, des monstres majestueux avec des arbres sur la tête qui empêchaient tout le monde de dormir.
Et puis, de toute façon, tu fais comme tu veux. Tu peux faire exister mes poèmes. Tu peux faire exister les tiens et même ceux de tous les autres. C’est à toi de choisir... Le bonheur, ce bonheur là , c’est à toi de voir.