C'est au creux d'un vallon, sous les rayons chantants
Tout prés d'une maison, ou s'aimèrent les amants
Qu'elle apparut un jour, il y a trés longtemps
Coulante pour toujours, désaltérant l'enfant

Oh bien sûr au début, elle n'était que de vie
Et j'aurai temps voulu, qu'elle ne fut de conflit
De tension, de discorde, si loin de connaissance
Tous ces mots qui s'accordent, à la faire de souffrance

Puis arriva le temps, ou elle devint d'ennui
Avide de pouvoir, et puis de revenus
La voulions de talent, mais elle était tarie
Cette envie de savoir, avait bien disparu

La revoir de jeunesse, devenir de bonheur
Ruisselante de sagesse, embrasante de chaleur
Mais pour moi bel amour, tu resteras toujours
Même au bout de l'enfer, ma source de lumière

C'est au creu du vallon, sous les rayons couchants
Tout prés de la maison, c'est là que je t'attend

Bonsoir Cals

de belles métaphores, sur beau paysage, de la mélancolie mais toujours dans l'attente du retour, touchante déclaration

Amicalement Franie

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très belle lecture
lilas

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la poésie est le parfum de l'ame

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Tu brodes très bien avec les diverses sources.
Je te souhaite qu'Oasis soit pour toi source d'harmonie et d'inspiration.




Adn

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un splendide poème, à la fois dans sa réalité et dans sa métaphore, merci de cette brillante lecture,


yann