De ne pouvoir s'assouvir
De ces quelques mots
Qui font les rares sourires
En ces matins sots

Ou l'espoir choie le désir
A la table des rêveurs
Divin plaisir
Qui laisse songeur

Le theatre de mes frayeurs
Entre réalité et imaginaire
L'équimose d'un temps prieur
Laisse place au regard lunaire

D'un être à coeur ouvert
Au dialogue dispendieux
Qui à l'ombre découvert
Voit partir les espoirs insidieux