Tel un troupeau que les politicards
Mènent danser sur une scène où
Les promesses et les bobards
S’entrelacent pour rendre fou

Les hommes sereins et sages.
Ils s’agitent au gré des vents
Dans l’ombre d’un paysage,
Qui échappe au soleil levant.

Tels des êtres naïfs, heureux
Ils applaudissent tous les sons
Des flûtes, les discours insidieux
Animent souvent les auditions,

Rien ne semble finir pour eux,
Même le vote qui façonne
Les maires dévotes et luxurieux
Ne change pas la couronne,

Elle reste la propriété privée
Des vieux hommes crochus
Que la fatalité eût élevé
Dans les milieux corrompus

Des ramifications des états
Maitrisant l’art des malversations,
Des manigances, des attentats
Et des mystifications.

Dad Allaoua

Tel un troupeau que les politicards
Mènent danser sur une scène où
Les promesses et les bobards
S’entrelacent pour rendre fou


Oh combien de vérité se sont envolées par des promesses juste comme appât pour avoir cet appui politicard et ensuite le désert.
Merci DadAllaoua
C'est la même chose partout dans ce monde

Merci d'avoir entendu ma voix
Bonne journée
Amitiés

un triste constat que je partage