Plume de satin Inscrit le: 9/12/2011 De: Envois: 10 |
Pleure, L'Heure, Meurt Dans les roseaux, là bas, près de chez moi Où le vent souffle, légèrement, à l'horizon Ta chevelure cache ton visage des moi Et ma vie, le souvenir de ta raison
Je coule les larmes du long ruisseau Et le rossignol chante à tue-tête La barque de mon amour est le radeau Toi, ma Méduse, ma douceur, qui ment tête
La partition de tes mots sont mémo Mes maux qui sanglotent sans toi Je suis le cri du silence cachot Le géôlier de tes sens sans voix
Domptes l'essence de mon sang carmin Car main dans la main, en sûr duo Je m'apprivoise encore dans ton nu destin Destination ton regard voilé là -haut
Je t'aime ma belle, Mabelle, Isabelle Demoiselle de mon corps dévêtu de douleurs D'où l'heure est venue, à partir à l'éternel Ether de ta mort, qui, maintenant, se meurt
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