AZZEDDINE
Au cœur du pont dissimulé par la brume
Zéphyr m’a laissé entendre son murmure
Zélé par son harmonieuse mélodie d’amertume
Et par la voie de la liberté menant vers l’azur
Déferlant mon ardeur qui s’enflamme et
Déployant les voiles de mon humble batelet
Indifférent, devant le péril qui me guette
Ne songeant qu’à lever l’ancre de ma barquette
Et poursuivre sans fin cette rumeur qui est ma quête.
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Coulez, coulez précieux mots
De ma bohémienne plume affable
Telle l’eau du ruisseau
Inlassable, intarissable.
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