Requiem,
A toi, ma langoureuse Mère,
Partie trop tôt, pour te soustraire,
Et n'a pas su me hisser vers ta sphère.
A toi ma mariée, disparue vers l'éternité,
Par trois fois tu as maîtrisé et enfanté,
De merveilles, que tu m'as confiées pour les cuirasser.
A toi mon grand Fils, mon premier né,
Proche de la déité et n'a pas su s'éprouver.
A toi mon Fils, mon cadet, le magnat,
Qui pour tous, tu veux être l'avocat.
A toi mon Fils, mon benjamin, le petit malin,
Adepte du demain, en un tour de main.
A toi mon grand Frère, le bien fier,
Par qui j'ai souvent souffert,
Et n'a pas toujours su être solidaire.
A toi mon petit Frère, le solitaire,
L'altruiste, qui d'aventure n'a fait d'impairs.
A toi ma SÅ“ur, mon bijou, ma fleur,
Qui, enfin, à trouvé écho à son cœur.
A toi mon Estimée, la seule appétée,
Toi qui à su me relever et m'étonner,
Dans des instances de désœuvré.
A vous, mes chers, cette chanson est désignée,
Même si ce trépas n'est pas confirmé,
J'ai plaisance, dans ces circonstances,
Et par, ma concluante clémence,
A dire que j'aime vous aimer.
Antoine
Inutile de citer cette belle chanson et son interprète
Non ?
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Quand la "Tolérance" est de mise, l'intelligence devient
intuition ou sensation sans relativité.
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Antoine
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