Dans les rumeurs il est dit tant d’intentions
De nuire à l’individualité
Sitôt renaissante et parée à l’injustice.
Et de là toute éventualité subséquente
Tels les préceptes socio-économiques
Se déguisant derrière la moralité
Dont se jouent opiniâtrement les égoïsmes
Veulent trouver la boutade à leur manque
De bonheur à l’inconsistance prédigérée.
Et ce bonheur vise une fiction eudémoniste…
Et alors le qu’en dira t-on en vient…
… A son effervescente application :
Assujettir l’être à une existence fortuite.
Et dans l’arène du désir, le plaisir
A comme l’impression de n’être plus chez lui
Tant la réalité lui rappelle son instance ;
La primordialité à la lettre du signe
En tant que langage métaphorique.
Alors les coïncidences commencent à arguer
Et à circonscrire le signifiant pour sa valeur.
Mais le symptôme est bien un compromis
Soit une défense entre pulsions refoulées
Et exigences du surmoi comme intériorisation
Inconsciente des interdits sociaux et parentaux.
Il va de soi que l’efficience du qu’en dira t-on
Se produira dans une résistance latente,
A savoir l’angoisse où la censure du ça opère
Car : « où le ça était je dois advenir ».
Voilà l’optique freudienne s’éclaircir la vue
Et la projection humaniste se réifier !
----------------
En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
http://www.edilivre.com/le-repit-du-silence-23115d53b9.html
http://nihilo1.over-blog.com/
