Je ne suis pas sur de savoir
J’ai même souvent peur d’avoir
Il faut compter , compter et recompter
C’est là que prospère les épiciers .

Remarquez pour une fois
C’est le pouvoir de la loi
Qui dit « tu es à moi ! »
Le voleur reste sans voix !

J’étais sur d’avoir des sous
Le banquier disait » Pas du tout ! »
C’est une divergence d’opinion …
Mais qui ne laisse pas d’option .

Sur ce fait j’ai demandé au voleur
« Va voler le banquier ce malfaiteur ! »
Il m’a répondu qu’il ne pouvait
Car cela, en conscience, l’angoissait .

« Vois tu l’ami il y a une règle .«
me dit il ,œil vif et espiègle :
« Il ne faut pas voler meilleur voleur
car c’est le salaire de la peur « .

C’est facile de taper sur eux !
Les pauvres banquiers sont très malheureux :
Ils se battent avec les proxènetes
Au concours des plus honnêtes !

que de vérités en ce poème sensé.
Bravo

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Bonsoir Franck
Excellent !!!
Amicalement
Zoheïr

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L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui
étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer
qu'alimentent leurs larmes.
William Shakespeare(Roméo et Juliette).