Dans ce monde, où la société diffère de tout
L'homme n'a que pour survie, un petit trou
Il s'abreuve d'un élixir de sombres puanteurs
Que l'élite politique lui offre en toute douceur

Il bâtit des fondations solides pour sa progéniture
Essaye de planter les graines de la vie, sans blessures
Mais, son rêve d'espérer ne fait qu'empirer
Car, la société du pouvoir, l'empêche de respirer

De ses mains, ils cisaillent d'un très dur labeur
De son coeur, il vénère chaque instant de bonheur
Mais, la dure réalité lui dévoile la vermine fatale
Que lui offre la poitronnerie du vilain chacal

Ne lui reste de s'assoupir, dans son sombre trou
Pour vivre à travers une société sans beaux atouts
Car, l'homme n'a que pour survie, son simple coeur
Celui qui l'emportera vers des chemins vainqueurs

Très bien exprimé, une minorité dirige le monde et a les rènes du pouvoir alors qu'une grande majorité aspire à respirer l'air pur et fire vivre les siens. Complètement en accord avec ta pensée.

Un beau poème qui nous interpelle
Tu as bien exprimé cette dure réalité de l'exploitation de l'homme par l'homme

Merci

L'espoir restera toujours au coeur de l'homme... il est bon cependant d'en rappeler le prix à payer ! Un poème que j'ai apprécié,

amitiés,

entoliv

Bonjour Libertas,

J'ai beaucoup aimé ce beau poème ayant pour conclusion que de nos jours la seule vraie richesse de l'homme réside en son coeur.

Amitiés

Christian

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merci a vous tous, et merci monsieur tolpac, oui la seule vraie richesse de l'homme reside en son coeur, si il y cherche bien
amities