A cet instant crucial où je couche mes maux
L'amour m'a brûlé, je ne suis ni aveugle, ni sourde
Calme ton cœur, toi qui recherche la Présence
Et qui te sens si seul au cœur de l’univers,
Car tes mots et tes chants, tes prières, tes vers
Jamais n’allègeront cette terrible absence.
Le cœur bat tellement fort, qu'on en perd la raison
Je l'aime de tout mon être, je l'aime à en souffrir,
Tu ne sais pas que c'est ta voix, qui fait mon bonheur,
Tu me caresses et tu me brûles, tu me marques au fer chaud,
Prendre de toi, mes empreintes d’envie,
Dans ce jardin de cendre des souvenirs perdu
L'amour Ma quitté , l'amitié je suis entrain de la perdre.
L'amour me fait mal, L'amitié me va mal
Mais peut-être la mer laissera une larme
Couler de son œil sur ton cœur qui s’alarme
Un désir de cheminer malgré l’incertitude, l’inquiétude.
Elle caresse ce lit blessé, sommeil ruminé, glacé.
Quand je ne serai plus, surtout ne pleure pas.
Les années, les distances, plus rien ne comptera.
Je viendrai respirer le parfum de ta peau.
Enfin me reposer dans ton cou bien au chaud.