J’ai la peau entaillée
J’ai la cuisse mutilée
J’ai gravé sur moi des sillions
Les cicatrices de punitions

La douleur absente sur l’instant
Devient vite brulante
Les vêtements se frottant à chaque mouvement
Venant me rappeler le mal que j’engendre

J’ai tellement mal à l’intérieur
Mes entrailles se tordent de douleur
Et sans cesse je pleure
Sans que cela suffise à apaiser mon cœur

Je ne comprends pas ce ressenti
Les mots ne suffisent plus
Je dois laisser les émotions partir
Je n’en peux plus

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On a des mOts pour dire une peine légère,
Mais les grandes dOuleurs ne savent que se taire...

Douleur,tristesse,profonde souffrance émanent de ces vers pathétiques! Je ressens souvent ces sentiments amers et aigres mais il faut les chasser et avoir de l'espoir!Courage!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

parce qu'on n'ose pas partager nos peines les plus grandes, de peur qu'elles ne fassent souffrir d'autres que soi-même; mais ce partage est nécessaire et les pleurs sont un baume qui apaise.

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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!

Poème touchant et poignant !
Amitiés
Eve-Lyne,Nadine

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EvE-LyNe