En ton absence, je me meurs et me morfond.
Des portes se referment
sur mon existence blème ;
En mon coeur, ma peine,
mes élans, mes envies
N'ont plus de sens ;
En ton absence,
j'erre ébloui
Par les souvenirs de nos journées de gaieté,
Et ne peut rire sans toi qui
du bout des doigts me conduit à cette félicité,
Est-ce ce charme qui est le tien ?
Ce sourire incroyable,
Cette joie de vivre
Inlassable, ce courage
Cette rage de vivre,
Inextinguibles ;
Mais que le temps
loin de toi
Me parait insipide
comme un labeur
en un sablier vide
Dans lequel il faudrait,
au prix de maints efforts
Inventer chaque grain,
En ton absence, mon amour
Je me meurs et me morfond...
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