Froide. Sûre. Tu es celle qui m'a surpris.
Voilà des mois que je t'attends chère invitée.
C'est toi qui m'a aidé, c'est toi qui m'a compris.
Impossible, je n'aurais pas pu t'éviter.

Sans âge, car au-dessus de l'espace temps,
Tu frappes les hommes, bouleverse leur femme.
Ta propre personne incarne ton passe-temps.
Tu peux réduire au silence tout être infâme.

Froide. Dans un souffle, tu soustrais les sourires,
Tu terrifies les durs, les faibles t'accompagnent.
Aujourd'hui est un jour idéal pour mourir.
Viens à moi douce amie, viens ma compagne.

L'heure est arrivée, et sans le moindre remords,
Je vois ta fine main squelettique qui rode.
Voilà ma délivrance! Ô, mon exquise mort.
Défunt, cet été en fin de matinée. Chaude.

Ton poème est bien écrit mais dérangeant même si ce n’est que la fin (mort) des mots, mais comme le Phénix tu renaîtras bientôt de tes cendres sous quelle identité mystère…. ou pas ?