Sur la terrasse esclave des tempêtes
Jaillit milliers de pétales comme des bêtes
Qui rampent désordonnés, presque insolemment,
Mais personne ici ne souffle sur les feuilles comme maman.

A vrai dire c'est en maison étrangère
Que l'on sent, narines grandes ouvertes, mélancolie dans l'air.
On aimerait pleurer, chaudes larmes, puis crier
Parce que la terrasse et le sol sont mal soignés

Mais alors on devient vrai petit bourgeois
Qui par un parterre mal lavé se coupe toute joie.
Ô petit Jésus je ne regrette plus maman et ses baisers
Mais en revanche je souhaiterais bien son petit coup de balai.

F.

Bienvenue à toi avec ce poème un peu énigmatique quand à sa véritable pensée morale,
mais dont la lecture m'a beaucoup intéressé.
HONORE

Bienvenue sur Oasis.
A bientôt de te relire.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

joli poème même si un peu difficile à comprendre