L ordinateur mécanique trotte et clique

Au temps de la guitare électrique
Qui remplace cette musique sans rythme
L ordinateur mécanique trotte et clique

De la lampe a huile que l on soufflais de son chevet
N est plus l idée que l on s en fait
L ordinateur mécanique trotte et clique

Le feu de la cheminée qui rechauffais la famille en hiver
Pelotonnée autour
Le radiateur a réprime ce bon moeurs
L ordinateur mécanique trotte et clique

Du passe, de l avenir je me demande a quoi j aspire
L ordinateur mécanique trotte et clique

il est intéressant ton poème je trouve, la modernité a tué beaucoup de poésies d'antan il est vrai. bisous à toi. isabelle

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