Elle s'abreuve de notre sang
Elle se nourrit de notre chair
Etend son ombre hideuse
Aux tréfonds de l'âme
Et nous jette corps inèrte
Dérivant sur les océans
Des larmes.
Le tableau que tu as peint du spectre de la souffrance est poètiquement
très beau,j'ai beaucoup aimé ma lecture
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"Ayant bu des mers entières,nous restons tout étonnés que nos lèvres soient encore aussi sèches que des plages,et toujours cherchons la mer pour les y tremper sans voir que nos lèvres sont les plages et que nous sommes la mer"
(Farid Uddin Attar)