Nos regards se croisent et se perdent au lointain.
Nos regards se croisent et nos mains se caressent
Pour se perdrent au lointain, et ne faire que douter.
Je n’y crois plus lorsque, le ciel est terne et que tes yeux se ferment.
Quand je suis attristé, c’est ton cœur qui ne bat plus.
Mes larmes se perdent, sur mon visage souillé.
Quand toi tu n’y crois plus, c’est moi qui suis perdu.
Mon âme s’épuise et plonge dans la dérive.
Mon cœur s’assèche et mes rêves se brisent. ;
Quand tu dois t’éloigner, et que du bout des lèvres, tu me murmures.
« Je t’aime »
Comme un oiseau en cage, emprisonné, privé de liberté.
Je ne fais que rêver, et ne peux m’envoler ;
Pour te rejoindre mon ange, m’envolé avec toi,
Ou nous pourrions nous aimer, ne plus jamais pleurer.
Etre enfin dans tes bras à savourer ;
Tes baiser les plus doux, tes baisers les plus fous.
Chavirer de plaisir, quand nos deux corps s’emmêlent.
Respirer le bonheur, quand tes bras me retiennent,
Pour me murmurer " je t’aime, mon ange adoré"
Angel
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Tant de mains pour transformer ce monde, et si peu de regards pour le contempler !
Gracq (Louis Poirier, dit Julien)