Quelquefois elle est comme une gamine entre mes bras,
Effrayé par des ailes funestes que l'amour doit bannir ;
Une pluie de larmes muettes envahit son visage.
Qui se terre, et se revêt dans des traits d'angoisse :
Des fois s’enfuyant dans les maux cruels de mon propre. cœur,
J’explore le refuge de sa brûlante étreinte,
La citadelle contre toutes, mes souffrances.
Et le trésor de son corps,cachant ses formes les plus précieuses.
Et dans cet Amour,il y avait les lumières de notre nuit amoureuse
Et les étoiles du ciel, Nous apaise par leurs chants et détour
À l’aurore des jours de mêlée passionnée, faite de tumulte. Enfiévrées.
Comme l’ombre pure sur son visage d'Amour , qui brille dans son chant;
C’est comme le murmure de l'eau, et son soupir sous les rayons lunaires,
Nos cœurs concordent,par la romance d'un sonnet .
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