Plume de diamant Inscrit le: 7/2/2010 De: Envois: 10812 |
Amador met ton tartan d'or Amador A quoi tu joues ? Te déguiser à ton âge Cela ne tourne pas rond du tout Tu crois que tu me fais peur ? Que je n'ai pas reconnu Ta voix , ton corps Sous ce déguisement de loup ? Non ! non ! non! Cela ne te ressemble pas du tout De jouer à faire peur aux villageois Avec tes acolytes pas plus doués que toi Amador t'as plus vingt ans Arrête de jouer De faire semblant Je ne vais pas m'enfermer dans un placard Ni me mettre à pleurer Range tes accessoires Viens on va plutôt voir Ce soir le soleil se coucher Sur la colline de glens , ses vallées Je te dirais comment la lune tombe Dans les mares féeriques Et des batailles , je te raconterais La récompense que les guerriers En ont retiré Larmes , blessures Écartèlements de leurs compagnes aimées Qui en vrai n'avaient rien demander Amador enlève ton masque Ces frusques Remets tes habits et ton tartan doré Allons revoir les lochs vert émeraude Ou tu m'as dit que mes yeux te brulaient Amador sais tu que sur les bords de l'eau cette année La nature a semé , des montagnes de petites fleurs Bleues comme tes pensées Oui c'est mieux ... bien mieux J'aime mieux ton sourire Ta main qui se tend pour m'aider à monter Les marches de bois de notre maison adorée Amador tu auras un nouveau fils à la fin de l'année Nous l'appellerons Robert Comme ce poète et chanteur qui aimait une rose rouge La chantait en douceur Amador nous aurons un trésor A chérir précieusement C'est Louane qui te le dit Abandonne tes jeux idiots Pour m'impressionner je sais que tu as mieux Murmure mon prénom ou crie le Alors , je serais peut être émue ou effrayer Mais je sais que tes yeux m'aiment Depuis l'adolescence Au temps de tout ces vilains jeux Les pièges dans lequel je tombais Pour avoir un doux baiser Tu te croyais un héros A la hache et au bouclier Même alors je te battais Avoue que c'est vrai ?
De Robert Burns
Les plans les mieux conçus des souris et des hommes Avortent bien souvent, Et ne laissent, au lieu de la joie escomptée, Que peine et que douleur.
Ou
Mon amour est une rose rouge, rouge, Au printemps fraîchement éclose. Mon amour est une mélodie, Jouée en douce harmonie.
|