Allons nous échapper à ce méchant virus
A tête couronnée et qui nous vient de Chine ?
Il porte un nom de bière du pays au cactus
Mais il sème la mort, défie la médecine...
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Je n'en parlerai pas mais que vas –tu apporter, ô ! toi année nouvelle ?


Des baisers d’amoureux pour la Saint-Valentin
Un brin de mimosa au parfum entêtant
Quelques crêpes sucrées pour un instant gourmand
Un poisson malicieux et des cloches sonnantes
Des Å“ufs en chocolat dans un pascal chemin
Du muguet à ras le bol, beaucoup de bonheur
A offrir au premier des mois qui manquent d’R
Des graines et des plants pour garnir le jardin
De basilic, de thym de menthe et romarin.
Un quatorze juillet sous des feux tricolores
Cocarde symbole d’un merveilleux triptyque
Les bals populaires où l’on y danse encore
Suivent les vacances qui ne durent jamais
Une bonne rentrée toujours mélancolique
D’une saine fatigue à la fin de l’été
L’automne arrivera avec ses feuilles mortes
Qu’aux pieds on foulera en cueillant des bolets
Des «pissacans» cèpes, et autres «safranés»
La Toussaint sera là, qui frappera la porte
A grands coups de marteaux d’eau de pluie et de vent.
Après le jour des Morts couverts de chrysanthèmes
Rendrons, onze novembre hommage à nos soldats
Viens décembre compte à rebours les jours d’avent.
Noël sera fêté sans craindre d’’anathème
Lors l’année sera passée sans dévier d’un pas
Qu’apportera l’an neuf souhaité différent
Point n’est nécessaire de promettre la lune
Le maintien en santé, un morceau de pécune
L’espoir du meilleur pour nos enfants nos parents
Et pour tout le monde l’aube d’un nouveau jour
Remplie par la lumière la paix et l’amour.

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"Ce qui a le moins vieilli en moi c'est ma jeunesse"...Et il escaladait l'échelle qu'il avait appuyée à rien pour aller marier une girouette au vent