Laissé pour compte sur le bord de la route de la vie,
La gueule fermée qui crie sa douleur en sourdine,
L'amertume vient alors sans préavis,
Une vraie tuerie, un seul survivant, au quotidien qui piétine...


Pourquoi le vide laissé par un abandon ?
Qu'ils continuent à reposer en paix,
A charge de remonter la voix de la sérénité et du pardon,
Dans un impénétrable respect...


Aux aïeux ne conservons que la sagesse,
Fébrile de leur perte , dans ma vie , je tâtonne,
Comme le Cid, mon ennemi sera ma viellesse,
Mon fardeau pèse sur mon dos une tonne...


Cet abandon me donne des leçons,
L'école de la vie est mon emblème,
De mon avenir je dois être le maçon,
Des chemins de traverses, où je parsème....

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/