De l'ouest, de l'est, du sud, du nord,
Les points cardinaux s'affolent,
Tout azimuts, les vents sans efforts,
Planent, s'emballent par rafale.

Tournent les gens dans la vie,
Qui cherchent un asile de paix,
Après le maussade temps suivis,
D'une escale de repos happé,

Par le speed des villes assassinant,
La faune naturelle , une maladie,
Qu'on injecte sciemment, donnant,
Dorénavant le modernisme dit paradis.

Le tout entier et le tout incomplet,
L'animal et l'homme sans frontières,
S'adaptent à l'un et à l'autre des plaies
Béantes qui laissent de la misère.

Il faut laisser à la nature sa nature,
Prendre racine et bien naître,
Dans ce dédale d'aventures,
Pour un bien être et bien renaître.

Je sais bien tout ceci dans l'absolu,
Résulte sur l'effet de l'insignifiant,
Que dit le Divin et ses élus !?
En attendant rester confiant.

Les loups s'invitent...


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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/