De mon corps trop petit
Je sors parfois prendre l'air
Pour écrire quelques mots
Que j'accrocherai aux fleurs

Comme une guirlande de pluie
Éclairée par un rêve
Qui n'en finit plus de grandir
Dans l'immensité qui est sien

De mes ailes trop petites
J'aime à regarder le ciel
Y lire tout près des étoiles
Et m'instruire de lumière

Pour me faire un chemin
Où je ne puis me perdre
Dans ce monde trop petit
Qui pourrait être grand

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sylvianni

le monde est petit, le monde est achevé Dieu est grand

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Bonjour
Vous avez raison de dire que nous sommes petits devant si grand.
Magnifique rappel .
Bravo

le petit rêve de si grandes choses
mais bercé par ses rêves
il oublie ...que lui aussi est grand !
merci à vous
Terry

Merci pour ce joli partage des mots bien touchant amitiés doux dimanche

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Un joli poème, imagé comme un conte de fée.

Mais un conte égrenant les émotions d'un véritable ressenti qui, selon moi, semble bien réel.

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« La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie (Edgar Morin) »
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On est ce que l'on est merci du partage

j'aime beaucoup ... cela fait écho en moi

une belle inspiration