Si long le bonheur...il demeure éphémère...
Je suis tout guilleret
A la pensée de la revoir
Elle est partie,que de regrets
Un inattendu aller,sans un au-revoir
Laissant ses sourires en l'air
Parfum embaumant hors saisons
Laissant mes sens à l'envers
Le corps flétri moribond
Le corps saigne, pleure ses larmes
Que reste-t-il à un espoir borné
Quand tu ne peux plus dire je t'aime
L'amour au stade fœtus mort-né
Pourquoi briser tant de lunes-de-miel?
Et que l'amour est à son apogée
Pourquoi la vie est si belle,si cruelle?
Rendant les instants bonheur abrégés...