Je me suis glissé dans la botte de mes aïeux, Et j’ai entendu les voies remonter des eaux. Dans mes canaux sanguins c’est du feu ! La lave chaude originelle remonte sur ma peau.
Mes ancêtres m'ont parlés. Les racines me sont remontées jusqu'au coeur, Mon sang s’est mis à pleurer. J'ai été ému, et je crois même que j’ai eu peur.
Elle appelle son enfant perdu, Elle s’est adressée à moi comme une mère. Son cri est soudain entré en moi, imprévu. J’ai senti les larmes de ma terre.
Le lion a baissé ses ailes de seigneur, Et les masques sont tombés. La ville artiste à fait soupirer mon cœur, Avec elle, je m’y suis fiancé.
Vert, blanc, rouge, les couleurs de l’ancien. L’Italie m’appelle, et je suis sous l’emprise. Vert, blanc, rouge, j’ai répondu à l’appel des miens. Dans le vent des "couloirs" de Venise
J ai adoré et c'est vrais que nos nos aïeux on droit que l'on ce souvienne deux moi aussi j'ai fait des recherche je suis arrivé en 1829 a présent je doit aller en France pour continuer
amitiés
---------------- http://www.mespoemes.net/poete47/ "Aimer ce n'est pas se regarder l'un l'autre mais c'est regarder ENSEMBLE dans la même direction" Saint Exupéry"