Moi qui pensais, trouver un refuge,
Contre les malsains, et les subterfuges ;
Le temps s’est avéré menteur,
Le malheur à leurré le bonheur ;
Où sont les gens de la vertu, et la tolérance,
Où sont les gens de la parole, et la clémence,
Ils sont partis, pour les grandes vacances,
Ou ils sont morts, enterrés par la démence ;
Pleures et trempes les feuilles, toi mon Å“il,
Ne crois plus jamais, ni à la lune, ni au soleil,
Et si tu as des habitudes, de grandes altitudes,
Sache, que l’homme à changer, ses habitudes,
Toi qui me juge mal, de l’autre côté de la rive,
Apprends que le soleil, de mon pays ravive,
Et les gratitudes d’autres fois, sont à la dérive,
La charité vit, ses derniers jours à la vive,
Garde les vieux souvenirs, et renonces à l’amitié,
Les sourires d’aujourd’hui, sont souvent dictés,
Mais si tu cherches, un être solvable sur terre,
Attends le prochain prophète, et déterre.
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les années de disette dictent les poètes