Encore une fois je pars dans un récit en plusieurs parties lol...
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Ce choix de vidéo peut paraître bizarre quant à la nature du récit mais il y a quelque chose dans cette chanson qui lui sied bien...
Vous jouez les étoiles
Dans la vague grandissante de l'actualité
Marre de ces gouttes errantes, vos fausses vérités
Ces ondes où tempêtent vos embruns trop salés
Comme ces cornes de bêtes où l'homme va s'empaler.
Vous comblez d'aise, dandys, par vos noires fumées
Volutes du vomis dans vos froids narguilés
Vous rassasiez l'aiglon de vos bouillies infectes
Pour réglez la moisson, vous sillonnez l'abject.
Vous brassez en vos fanges, pathétiques mais collantes
Un humus, ce mélange d'humanités absentes
Vous battez la mesure des calomnies altruistes
Les croches où suppurent vos gammes révisionnistes.
Vous jouez les étoiles, dans le vent, au pipeau
Et l'horreur dans ces voiles qui n'aspirent qu'au repos
Dîtes moi de quel droit, quelle odieuse dérision
Met l'humour dans vos doigts pour peindre l'horizon?
Et quelle est celle, là haut, dans vos humbles Credo
Dans ces larmes, par flots, médusant vos radeaux
La promise, dans le lot, qui s'écoule, houleuse
L'ivresse de bateaux aux absinthes douteuses?
Vous faîtes fi des urnes, octroyant des avis
Aux masses taciturnes dont vous mâchez la vie
Vos bouillons de souffrance aux fumets, encensés
Sont la miasme des stances de mort recommencée.
Anamorphose
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Je suis un cartésien désabusé : Je pense, donc je suis mais.... je m'en fous
La solitude aspire dès lors où nous aspirons à être solitaires