Le ciel me pousse à l'étrangeté
Le miroir de la vérité me libère
Et je me vois au large rejeté
Loin des scintillants réverbères

Is sont la trace du règne humain
Triste destiné à cause de certains
Qui use et abuse au terme de la destiné
D'un sentiment qui nous vois carabiné

En place et en lieu terne
De détresse allumer la lanterne
Qui se dresse comme une étoile
Où le peintre laisse sur sa toile

L'égérie d'un bonheur anéanti
Du fait que tout n'est pas à sa place
Du fait que notre sort arrive au ralenti
Démoniaque idée qui au fond de moi me glace

la peur de l'échec amoureux est terrible, merci de ce très bel échange, garant d'émotion et de poésie,


yann