Quand tu frôle mes pensées
Au ton d'un rare élan
Que le soir à tomber est lent
Et qu'au couchant les accords sont insensés

Tu perfore cette triste réalité
Quand le pouvoir conquis l'être factice
Terré au fond de mon oisiveté
Tu réveil au cri de la justice

Défendant le râle ténébreux du penseur
Qui se voit aux terribles sensations
Promouvoir de la ruse le vecteur
Qui au moment opportun passe à l'action

Dans l'aisance de la simplicité
Présent de l'âme vagabonde
Qui rayonne comme abonde
La réserve de nos complicités

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VadrouYeur, de ta rue je suis le chroniqueur.
"Changez le monde commence par se changer soi-même."