Dans cette nuit éclairée par les réverbères,
Dans une petite pièce éclairé de noir,
Hippolyte, rêvait de ce triste Enfer,
Qui ne s'arrêtent point malgré tant d'espoirs.
Lors de son réveil tout à fait maladroit,
Ouvrant les fenêtres sur ce ciel gris,
Encore dans ses rêves, il s'y noie.
Et se rappel de sa triste vie.
Dans ses yeux commencent à couler les larmes,
Le ciel lui parait plus gris qu'il ne l'est.
Ses mains tenant sa lourde tête tel une arme
Pour se protéger, de cette triste société.
A ses cotés, remplis de calme et de joie,
Delphin le pris dans ses bras et le câlina,
Essuya ces larmes coulantes avec ses doigts,
L'enlaça beaucoup plus fort, et l'embrassa.
Cela suffit pour lui ôté un peu de tristesse,
Repris ces idées, et comme remerciement,
Partagea un délicieux vin et fit cette promesse:
Que rien ne le touchera dès à présent.
Il reprit le même sourire qu'il avait petit,
Un magnifique visage et si sublime.
Son compagnon veillant à ces cotés lui dit,
D'un air lent, comme si c'était lui la victime
-"Hippolyte, oh ma douceur, comprend cela,
Que la société, n'est toujours pas évolué,
Depuis la création de Dieu, on nous accepte pas,
Quand est-ce que cela, tu pourras l'accepter?
Mes sentiments pour toi sont l'éternité,
Nés quand j'ai vu une si belle lueur dans tes yeux,
Et toute douceur du monde, ne peuvent égaler,
Jusqu'Ã l'infini, de toi je serait amoureux.
Cela peut paraitre de loin inhumain,
Mais rien n'est inhumain quand il s'agit d'aimer.
Hippolyte, ô mon frère! N'écoute pas ces crétins,
Tu es pour toujours mon coeur, ma destiné.
Sèches tes marrées de sel qui coule sur tes pupilles,
Pour revoir la couleur de ton sourire d'enfant.
Laisse moi vivre à tes côtés un Paradis,
Partir loin et s'évader de ces pauvres gens."
Hippolyte, sans voix ne trouve qu'à répondre :
-"Certes à tes côtés je suis tellement heureux,
Mon Delphin , les gens sont à s'y méprendre,
Et sont dans leurs paroles, tellement affreux.
Je sens que de plus en plus ils nous détestent,
Veulent nous exiler le plus loin qu'ils peuvent,
Et je me demande parfois si c'est choses faite,
Vu à quel points, sans arrêt ils nous esquivent.
Mais qu'avons-nous donc commis de si étrange?
Explique moi, si tu peux, j'en ai le besoin.
J'ai trop peur, de leurs regards qui me dérange,
Mais avec toi, j'aimerais aller un peu plus loins.
N'oublie pas que depuis le temps que je t'aime,
J'ai toujours cette peur d'affection
Ne me regarde pas ainsi, mais c'est dilemme,
Entre toi mon Coeur et la socialisation."
Delphin, choqué de ces paroles de pleine violence,
Décida de ne pas arrêter son discour,
Cet Oracle, est partie en trance,
-"D'où oses-tu dire ces tristes mot mon amour?
Autant que tu ailles mourir en Enfer,
Si tu préfères cette triste population.
Ecoute ton coeur, qui m'aime dur comme fer,
Ainsi, tu oublieras cette "socialisation".
Tu as choisi de ne vivre qu'avec moi,
Comme l'ombre avec son être, la nuit avec le jour,
Et me séparer de toi, est mon effroi,
Tu es mon seul et mon éternel amour.
Part si tu veux chercher une femme, ces démons,
Elles ne te rendrons pas plus heureuse que moi,
Et pleins de tristesses et de cette passion,
Dégouté d'elles, vers moi tu reviendras.
Elles ont le dessus, et on ne peut rien y faire."
Mais l'enfant, enfoncé dans un triste chagrin,
Cria soudain "-Je pourrais tuer père et mère,
Pour que les gens comprennent que tu es mon destin.
Notre flamme sera éternellement infini,
Rien ne pourra changer mon amour vers toi,
Et cela jusqu'Ã la fin de notre vie
Qui est dure à vivre, ne nous séparera pas.
Que notre vie isolé nous séparent du monde,
Et que ces crétins nous laissent tranquilles.
Je veux sentir ta langues dans ma bouche profonde.
Et que notre vie deviennent plus dévergonde."
-Triste population de ce pauvre univers,
Aller mourir en Enfer lamentable victime,
Où tous les crime commis sur cette Terre
Sont punis par un dieu longeant les cimes
Veillant à punir la pire des personnes.
Partez, partez le plus loin que vous pouvez,
Jamais votre rage, n'aura été si bonne,
Et votre châtiment jamais autant fait pitié.
Un jour viendra votre corps pourrira,
Dans une pièce couverte de moisissure.
Où un grand nombre de monde s'en balancera
Et jetteront vos corps comme de la nourriture.
Votre âme, incomplète, n'ira nul part,
Sera là à se morfondre entre les fantômes
De ces hommes, de quelques autres connards,
Où leur odeur d'homme pourrie, s'embaume!
Loin des peuples intelligent, vous vous égaré,
A agresser tout être vivant, bande de loups.
A travers l'évolution vous êtes passé,
Et fuyez cette haine que vous avez en vous!
Fin
Vermouth
