L’opale de ses filaments
Au soir étreint le firmament.
Etoile blanche des cotons
Posée au léger capiton.
Au fond de ce puits d’âme,
Se mire l’eau qui se damne.
Extirpée au levée du jour,
Je convole vers le séjour
Noces brèves sous la mer,
L’étendue déliée sans amer
Du cosmos peuplé de mondes,
Où j’erre fille furibonde.
Que l’on me prénomme astre,
Lune au ciel de son cadastre.
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