Tous ses jours oĂą je ne fais que penser
A toi, à nous, à ce que l’on aurait pu créer
Ça me fait mal au point de me déchirer
Et je me demande, si toi, ça t’arrive aussi d’y songer
On s’est aimé tellement fort
Que j’ai dû mal à y croire encore
Que l’on en soit arrivé
A de telles extrémités
Au point que l’on va se déchirer
J’aimerais avoir le droit à un souhait
Car je sais déjà celui que je ferais
Celui de revenir dans le passé
Au moment où entre nous, ça s’est dégradé
Je sais bien que je n’aurais pas ce droit
De pouvoir arranger mes choix
Ceux qui ont fais que tout a commencé
Entre autre, mon problème financier
Mais je ne suis pas le seul en tort
Et on doit tous les deux, faire des efforts
Afin de rester unis et soudés, comme avant
Lorsque l’on s’aimait vraiment
MĂŞme si cela est dur Ă admettre
Oui, je voudrais t’envoyer une lettre
Pour t’avouer que je t’aime encore
Et que je t’aimerais toujours aussi fort
Bien sûr, ce que j’ai pu voir
Dans les rues de Limoges, un soir
M’a retiré tous les espoirs
Qu’à nouveau, on pourrait y croire
Il ne t’a pas fallu longtemps pour me remplacer
Ou peut-être, que déjà tu le fréquentais
Ton barman du Bombay Café
Alors que tous les deux, ensemble on Ă©tait
C’est la pire des choses que tu pouvais faire
Alors que tu te vantais de vouloir rester célibataire
Et à cause de ta grosse conne d’Inter
Il va t’arriver, les pires misères
Tu n’aurais pas dû jouer avec le feu
Car on va se brûler tous les deux
Et plutĂ´t que de vivre heureux
On va finir très malheureux
Tu as allumé l’allumette Celle qui t’amèneras toutes les galères, c’est bête…
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