Si l'homme est pêcheur, et donc prisonnier de sa chair, que peut il bien espérer de ses œuvres ?

Il n'existe point de lumière en dehors de Dieu, dans le cœur d'un homme c'est l'ombre qui règne.

L'être déchu ne peut trouver réponse en lui, ses pensées ne sont que ruine et perversité.

Il n'y a rien en l'homme qui puisse l'accomplir. L'homme n'est rien d'autre qu'un cadavre attendant sa mort.

Mais lorsque la grâce d'Elohim saisi l'un d'entre eux, l'âme, elle, se vivifie d'un coup.

L'être s'ouvre et se remplit de lumière. C'est ainsi, que le potier prépare ses vases.

Ainsi, l'homme n'aime jamais le premier. C'est Jésus qui saisi ses brebis, c'est Jésus qui enlève son église.

L'homme n'est rien face à la majesté divine, poussière parmis la poussière, néant face au néant.

Pourquoi nous avoir choisi ô YHWH ? Qu'avons nous mérité de ta part ?