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     Un beau châle (Humour noir)
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Expéditeur Conversation
ameliamo
Envoyé le :  5/9/2015 11:26
Plume de satin
Inscrit le: 20/4/2010
De: Bucarest, Roumanie
Envois: 39
Un beau châle (Humour noir)
-- Bonjour à tous, chers téléspectateurs ! Un cadavre de femme a été découvert sur le chemin de fer, tout prés du village les Chardons vieux ; dit la correspondante d’un poste de télévision, déplacée à la place de l’accident. Un canal tv qui chasse les événements hors de commun pour gagner d’audience, il considère un tel « fait divers » macabre intéressant à son but. La journaliste, une jolie jeune femme blonde, avec une mine sobre, assorti à l’enveniment, continua de parler : un fait triste a perturbé la sérénité de ce village perdu dans un coin du pays. Ce matin, de bonne heure, le chien d’un fermier qui marchait au champ a découvert sur le chemin de fer le corps d’une personne accidentée mortel. Monsieur George, le maitre du chien, il vous racontera comme ce sont-elles passées les choses.
Un paysan avec un chapeau en paille jaune sur sa tête, apparu. C’était un sexagénaire négligent habillé, comme quelqu’un qui a dormi dans le foin. Peut-être sa femme, mecontente des balades nocturnes de son mari, à bistrot, elle lui a fermé à clé la porte de la maison. En se grattant sur sa barbe pas rasé de trois jours, un peu gêné, il commença de raconter :
-- Moi, chère mademoiselle, j’allais où champs avec mon chien ; ce bon chien qui est comme un frère pour moi. Il m’accompagne partout, après la nuit quand, en revenant du bistrot, j’ai risqué d’être battu par quelques-uns. Il m’a sauvé, ce brave chien qui entendant mes cris, il a chassé les rustres qui m’ont attaqué. Je ne comprenais pas qu’est-ce qu’ils voulaient ? D’argent je n’avais plus, en dissipant tout au bistro. Mais, ces sauvages de brigands, ils ont soutenu que leur motif n’était pas à me piller. Leur motif était les gros mots que je les avais adressés à un ami de leur. Et ces crapules voulaient me renseigner les bonnes manières. Leur ami m’a insulté, lui aussi, plus qu’il a bu sans payer et moi, j’ai payé tout. Ce chien actionna promptement, en déchirant les pantalons des agresseurs. Ils ont fuit en se perchant dans un arbre, derrière une haie. Les misérables, ils ont eu l’impertinence de me demander des dédommagements pour leurs pantalons. Mais, en voyant que le chien aboyait fort, ils ont pris la fuite définitivement.
Et l’homme commença caresser son grand chien, berger de Mioritza, qui mouvait joyeusement sa queue.
-- Monsieur, racontez les faits, s’il vous plaît ! lui dit la journaliste.
-- Je suis en train de faire ça, répondit l’homme. Je marchais tranquillement vers le champ du maïs, pour récolter quelque chose pour les cochons. Le lieu est tout près d’ici. Quand, mon chien qui se promenait sur le chemin de fer, en cherchant quelques traces, comme ils font tous les chiens avant de répandre leur propre trace d’urine, il a resté sur place et a commencé d’aboyer. En voyant ça, je pensai, tout de suite, qu’il soit quelque chose là-bas. Sincèrement, j’ai pensé à un sac postaux avec beaucoup d’argent, jetée par la fenêtre du ce train qui roule vers capitale et il n’arrête jamais chez nous. Un tel sac il a trouvé, il y a quelque temps, un citoyen qui était venu ici pour acheter des cochons. Il a raconté ça, quand la police l‘a questionné pour établir que voulait-il faire avec ce sac plein d’euros faux. Donc, j’ai allé jusqu’à là, pour voir de quoi s’agit-il. Et j’ai vu une femme allongée par terre sur le chemin de fer. J’ai eu l’impression que celle-là dort. J’ai m’approchai d’elle, en lui criant avec une forte voix :
--Hé, la femme, toi ! Ici il n’y a pas une place bonne pour dormir. Il est dangereux.
La femme ne m’a pas répondu. Je lui criai encore une fois, plus forte, mais la femme ne disait rien. Quand j’arrivai tout près d’elle, je vis qu’elle ne bouge pas. Elle était bien morte. J’ai eu aussitôt une grande peur de ne pâtir plus mal que celui qui a eu le bag plein d’euros faux. De ne pas croire la Police, que sois-moi l’assassin de cette pauvre femme. Je criai aux uns qui marchaient sur la route, d’être mes témoins et, ensemble, nous avons appelé la Police locale et la Police vous appelait aussi.
-- Oui, dit la journaliste, la victime est une femme sans aucun papier chez elle. De ce cause, on ne peut pas savoir qui est vraiment cette femme. Les villageois, ils ont affirmé qu’elle n’est pas de leur, probablement quelqu’une en passant par cette localité, même si les touristes sont rares dans ce lieu. C’est un cas mystérieux, sans doute. Il y a quand même, un indice intéressant : un châle magnifique, étalé près de la femme. C’est possible que ce châle soit la clé pour élucider le mystère de l’identité de cette femme.
Pour un instant, le cameraman a orienté son appareille vers l’écharpe. Sur le cailloutis du terrassement, parmi quelques fleurs de camomille, serpentait un tissu couleur lie-de-vin. Sa texture très fine vibrait dans la lumière, en relevant un motif floral discret.
Une femme du village, son nom Tinka, était venue pour voir que se passe-t-il. Quand la femme a vu le beau châle, vit elle s’empara le châle en disant :
--Ce beau châle c’est mon châle lequel j’ai le perdu avant-hier. Peut-être cette femme l’a trouvé..
Tinka pensait qu’une morte n’a plus besoin d’une telle beauté d’écharpe.
--Mais, quand as-tu eu un tel foulard joli, parce que je ne l’ai vu, jamais, chez toi ? dit papa George.
--Tais-toi commère ! C’est mon foulard et c’est soufi !
Monsieur George tais, mais il pense : c’est quelque chose bizarre, ici. Je connais bien cette femme, parce que je buvais, souvent, ensemble avec son mari qui est décède, il y a six mois, soit lui la terre légère. Elle est avare et rapace. J’espère régler une bonne affaire avec elle.
Apres le départ de l’équipe de la télévision et de Tinka, monsieur George va vite chez la maison de celle-là. Ici il commença de l’appeler et battre dans la porte.
--Hé femme, Tinka, vienne ! Je veux parler quelques mots avec toi.
--Qu’est ce que tu veux me dire, vieille carcasse ? Pourquoi tu me dérange, toi ? Lui réponde la femme, de l’intérieur de cuisine.
--Vienne, vienne je veux te proposer, toi, une affaire profitable.
--Quelle affaire ? dit la femme qui entendant ce mot magique « affaire » se précipita pour sortir dehors.
-- Ecoute-moi bien, ma chère Tinca, si tu me redans la bouteille de l’eau du vin emprunté à ton mari, je ne dis à personne que ce châle ne t’appartienne pas.
-- Qu’est ce que tu dis ? Tu es fou, sac au vin ! Je ne sais d’aucune bouteille. Et ce châle c’est mon châle. Tu n’a aucune preuve contre moi. Marche d’ici jusque n’ameute moi, les chiens sur toi.
--Tu as volé un objet qu’il appartenait à une femme morte et ça porte le guignon, dit monsieur George, en se précipitant lui aussi de partir. Il savait bien que la femme était capable de faire ce qu’elle lui a promis. Il n’est pas arrivé très loin, quand des cries aigus ils sont entendus.
-- Secours ! Secours ! Feu ! Ma maison est en flammes !
Beaucoup de fumée noir et de flammes vives jaillissaient par la fenêtre de la cuisine où Tinka voulait préparer un bon rôti. Pendent qu’elle a parlé avec monsieur George, elle a oublié sur le feu vif une grande poêle avec de graisse et viande de porc. La graisse s’est enflammé et d’ici toutes les chosés d’environ. Les voisins sont venus et ils ont éteint le feu. Tinca, encore tremblant de peur, elle prit le châle et courut à la Mairie. Elle a donné le châle au Maire en disant qu’elle se soit trompée et celui appartenait à la femme morte.
Pour la publicité fait à leur village par l’intermède de la télévision, le Maire a enterré la femme dans le cimetière de la commune. Le châle, il a été exposé dans une boit de verre sur sa tombe. On ne sait jamais, pensait-il, le Maire, peut être qu’elle soit un personnage riche est célèbre et son mystère va attirer des touristes. Et quelques-uns, même ils sont venu jusque là-bas. Pourquoi ? Pourquoi pas.

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