J’ai toujours depuis petite une fascination pour les clowns
Je me suis toujours pourquoi que nous cachent-ils.
Alors avec l’expérience de la vie, tu comprends si tu regardes l’autre avec les yeux de ton cœur,
Avec la profondeur, les yeux du cœur.
Et tu vois derrière une personne qui rit trop qui fait toujours trop le clown, une personne qui a beaucoup de cœur d’amour en lui mais une grande douleur, la vrai douleur, par pudeur ne se dit pas se minimise toujours et ne se montre pas.
Alors tu ris car ses douleurs ne peuvent et ne doivent que pleurer à l’intérieur.
Que pourrait-on dire à un clown, viens jeff tu n’es pas tout seul tu sais, moi je te vois je sais, alors prend ma main, je sais ce que tu caches derrière tes habits trop gros trop grand trop sale trop souriant,
Alors viens jeff tu n’es pas tout seul, moi je sais le mal, la douleur que tu nous exposes et que majoritairement personne ne verra et généralement les prendront toutes tes mimiques pour tes faiblesses alors que tu nous exposes que ta douleur si grande.
Tu vas rire aussi fort que tu souffres.
Merci de ce partage, un poème que j’aurais pu écrire aussi, magnifique
Alors quand on voit des clowns en la rue, ne voir que sa souffrance et un sourire de compassion, tu existes je te vois prend mon sourire ma main, jeff tu n’es pas tout seul, je suis la……
Tu as superbement décrit leurs réalités.
Mes amitiés
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