Voici encore un; un autre poème en langue amazigue, que le fils de l'arganier et de la montagne fière, nous fait le plaisir de traduire en français pour que nous puissions savourer et admirer, juger et apprécier à sa juste valeur cette poésie si riche et si profonde dans le temps et dans l'espace.
Je suis profondément touché par ces vers:
Et passent les jours
Les jours courent
L'un après l'autre
On dirait l'éclair
Cette question du temps me préoccupe fortement et j'en parle souvent dans mes poèmes; je ne sais pas pourquoi,ai-je peur de mourir?
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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!