Chanson d'automne

Les sanglots longs des violons de l'automne bercent mon coeur d'une langueur monotone

Les angles oblongs dévient au long de l’automne , blessent mon coeur d’une longueur monotone.

Laissant Glo l' landais violent de l’aut’e homme, blesse mon coeur d'une langueur monotone.

Les sangles au long des vies, au long de l’eau, tonnent , blessent mon coeur d’une longue heure monotone.

Les cents globes lents dévient au long de l’automne , bercent mon choeur d’une langueur monotone.

L’exangue lot long de l’auto ne blesse mon coeur d’une longueur sono tone.


Les sanglots, l’ondée , vie au long de l’eau, tonnent , bercent moqueurs
d’une longue heure monotone.

Laisses, sangles, hollandais, violents de l’eau tonnent blessent moqueurs d’une langue monochrome.

Pull Lainedevers
Phis47