Les hirondelles, le seul passage de l'enfance qui revienne sans nuages.

Et j'admire la belle facilité avec laquelle tu écris
ça comme par un rêve où le bonheur nous serait offert...
puis la lampe éclaire un élan de lucidité,
la vie, ce n'est pas un conte de fée...
pourtant si... si... rien ne nous empêche de lever la tête pour regarder les hirondelles passer et rêver...rêver encore... à des temps meilleurs en mangeant du ...chocolat, c'est parait- il un excellent anti-dépresseur...

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Laissez l' esprit prendre toute son ampleur

belle lucidité , tout choix a ses revers mais aussi ses avantages
vivre comme on l'entend n'est ce pas le souhait de chacun...et puis à defaut de remplir le porte monnaie , la poésie remplit l'esprit .

Chez moi l'hirondelle est non seulement aimée, mais respectée et qualifiée de"sainte", parce qu'elle construit souvent son nid dans le plafond du hall des maisons ou sous les fenetres...C'est interpreté comme si elle est entrée sous la protection des humains...d'autant plus elle est joli, propre et son passage est saisonnier...Merci d'aimer trop les hirondelles , moi j'ai bien aimé ton poème.

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Merci mes deux frères, mes zamours, pour vos douceurs et gentillesses.

Kendor, je t'adore.
Farid, pour la vie!!!

Rose, la nomade

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Salut Sabine
Une vie rêvée en substitut imaginaire à celle vécue;j'aime ta simplicité,ta modestie,ta dignité et ton attachement à la nature.
la vie est faite ainsi,on ne regrette pas souvent de l'avoir vécue;déjà na$itre est un bonheur mieux que ne point être du tout
Merci pour ce très beau partage
Amitiés
farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

Comme quoi de la chouette à l´hirondelle, ce qui ne fait pas le printemps ce n´est jamais l´oiseau, c´est le mauvais temps au temps mauvais parait-il....
j´ai aimé que vous vous parliez, aimé vous parler de vous.
Kendor qui cause (sourire)

Merci, Clotilde, pour ta délicate pensée.

Monsieur Honoré, bien sûr, je me serais ennuyée!!!!!

Merci, Sophie la douce, d'être avec moi!


tiens, c'est amusant, Galia, quelqu'un m'a dit exactement la même chose de toi!!!"Elle est chouette, Galia!"


Rose, petit hibou à lunettes.

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Dans chaque hirondelle,
une âme sommeille,
pour se réveiller en plein ciel
et virevolter tel un ange de beauté
en déployant ses ailes...

Merci pour ton texte

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

Dis-moi, franchement, qu'aurais-tu préféré une vie de bourge tranquille et cloisonnée ou bien la vie telle que tu l'as vécue et continue à la vivre. A mon avis, il y a pas photo.
HONORE

Un joli poème, Rose, merci pour ce regard sur la nature...j'aime beaucoup les hirondelles...
Merci pour cet instant d'évasion au fil de tes mots...bien agréable.
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

petite partition musicale sur fil électrique pour toi..
pi quelqu'un m'a dit : "elle est chouette rosam.."

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

Merci pour me réveiller avec vos mots, mes amis, j'aime, en mes moments actuels de grande solitude, ouvrir les yeux sur le monde grâce à OASIS, trouver les mots, les poèmes, les coeurs parsemés sur notre belle terre, et m'y chauffer.

Merci Jocelyne, tu as raison, le nid, même s'il vient de changer 8 fois en 11 ans-livre des records, non???-, je le construis toujours avec un immense amour pour ma couvée à trois têtes!!!

Kader, merci immensément de ta délicate description du cycle des hirondelles, qui somme toute s'habituent à leur nomadisme, y vivent leurs voyages pleinement...

Et puis, mes deux moments PREFERES de l'année sont, vraiment:


-Le moment où mes enfants découvrent le sapin et les Kdos-je précise malgré tout que les grandes ont 21 et 18 ans, d'où mon atteinte mentale évidente!!::))

-Le moment où, éblouie, je lève les yeux au ciel, un beau soir de mai ou d'avril, pour y entendre les cris ravissants des hirondelles et martinets et découvrir leurs immenses cercles majestueux...

Votre Rose qui tourne comme une derviche au milieu de ses cartons!

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Super...l'hirondelle la grande voyageuse..mais ne revient elle pas au nid?pour y déposer sa couvée..et nourrir protéger ses petits.???
Reste une hirondelle....
va et viens..ici..trés loin..mais tu reviens..
Bises
Jocelyne

L'hirondelle suit le soleil qui annonce le proche printemps, elle apporte la fraicheur des dernières pluies disparues dans les nuages d'hier... Elle ne perd pas son temps, vite elle construit son nid et marie ses cris aux cygnes migrant vers d'autres saisons, vite avant d'être proie aux chaleurs de l'été et aux orages que draine le vent d'automne...
Mais, à force de vivre ces retournements, l'hirondelle sait et admet ce cycle éphémère aussi modeste qu'un tour de bec sur la courbe d'un œuf en vie...
Merci Rosam, la lecture de ton poème me ravit beaucoup...

Kader...

J’aurais tellement rêvé de vivre simplement
En grande terre battue par les vents
Mère nourricière et femme souvent
Aimée aimante pleine d’allant
Une vie calme ponctuée de matins
De certitudes en lendemains
Horloge comtoise ami ricoré
Tout semblerait publicité
Rien n’irait jamais de travers
Même le bonheur serait offert
Les ritournelles seraient si belles
Mais j’aime trop les hirondelles…

Ma vie déteste les heures creuses
Mes trains ont toujours du retard
Que je sois baronne ou bien gueuse
Mes maris ne sont que des soudards
Et je m’en vais au fil des rêves
Boitillante et éclopée
Ma lampe n’éclaire que les mystères
Je déteste médiocrité
Encore perdu pantoufle de vair
Cendrillon va se rhabiller
Elle ne commet que des impairs
Je n’aime pas les contes de fées…

Ah si j’étais une autre
Je vivrais en pavillon
Ferais mon pain en farine d’épeautre
Et serais moins papillon
Mes enfants blonds seraient très sages
Mon banquier serait un ami
Ma vie ne ferait pas naufrage
Le bonheur pas éternel pari
Moi j’aime trop le chocolat
Vivre rire manger aimer
Forcément j’ai parfois la tête en bas
A force de tout retourner…

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