Merci pour vos commentaires enflammés qui vont réchauffer cette côte bretonne !!

J'ai beaucoup aimé cette légende bretonne si bien poétisée
Du rythme, de la fluidité, une constuction habile ...tout me plaît! merci pour ce beau momnet de lecture!

Amicalement,
Rosaly

excellent poème

merci pour ce moment partagé

c' est une fort belle légende

bravo

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EVELYNE NADINE

une jolie légende

Bonjour Phis47

comme quoi parfois les hommes font feu de tout bois pour s'accaparer des richesses

Amitiés

Christian

Une belle évocation de ce qui n'est probablement pas qu'une légende?

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http://poesiedejla.blogspot.fr/
Mes livres :- La faim d'un rêve, - Le masque angélique et le chemin de Pierre aux éditions Publibook… De l'aurore au crépuscule aux éditions Le Manucrit …

Bonjour, une légende joliment rapporté par la plume

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Une envoûtante légende que celle des bœufs de Ménéham.

Amicalement

Les feux de Ménéham

Les flammes paisibles des lanternes accrochées
Sur les cornes pointues des boeufs de Ménéham
N’attirent pas autant les futurs naufragés
Que l’éclat envoutant de la tendre beautée
D’une femme

L’ Innocente lueur d’une flamme paisible
Espoir fou d’un abri, d’un havre de douceur
Attire le marin croyant trouver asile
Dans les eaux froides et sombres de son malheur :

Ni refuge, ni port, ni foyer pour les coeurs
Les lumières sur le bord sont celles des naufrageurs
Sur la côte bretonne aux multiples dangers
Les hommes se souviennent de leurs amours passés

Les flammes paisibles des lanternes accrochées
Sur les cornes pointues des boeufs de Ménéham
N’attirent pas autant les futurs naufragés
Que l’éclat envoutant de la tendre beautée
D’une femme

E PHIS

Ménéham est un petit village de la commune de Kerlouan en Bretagne nord, sur la côte des Légendes.
La légende nous raconte l’histoire d’un peuple : les Paganiz, des êtres indépendants, indisciplinés, insoumis voire rebelles. Il est dit que ces hommes et ces femmes accrochaient, de nuit et par mauvais temps, des lanternes aux cornes des vaches, pour provoquer la perdition des bateaux qui voguaient au large.