l'éconduit malheureux...
A vous les femmes que j'ai trop aimé
Je garderais le plus piquant des souvenirs...
Celui de n'avoir pas su vous garder
Plus longtemps que l'espace d'un soupir...
La passion ce soir m'abandonne
Je n'ai plus la force de vous supplier...
Mon coeur est devenu monotone
Il s'est peu être même asséché...
J'ai trop lutté qu'on se le dise
Avec vos corps de porcelaine...
Maintenant je vous méprise
Et vous jette toute ma peine...
Je me retire loin de vos visages
Et me prépare à d'autres cieux...
J'en serais surement plus sage
Et certainement moins malheureux...
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l'écriture est une philosophie...un exutoire...une cachette...un abri ;
grâce à elle nos vies deviennent les votres...et vos existences sont miennes..... merci de creer pour le seul plaisir de faire vivre les mots...
johniduo