Que se passe-t-il ?
Elle chemine en haut de la vieille ville
A la recherche de celui qui es
Mais personne ne sait vraiment pour les fleurs
Et pour les arbres

Qui l’a vraiment vu ou entendu ?
Dans le parc des crânes de pierre sont trouées
Et des graffitis se marquent à l’encre bleue sur le terrain de tennis
Mais la question reste la même
Personne ne sait trop s’il est là

Les êtres se croissent sans se parler
Ou bien ils disent des choses banales sur l’existence
La dureté de devoir exister
Mais en les questionnant la réponse est vide
C’est soudainement que j’ai aperçu
Une fine couleur de blanc immaculé
Et signe le retour du mois d’hiver
Elle s’en est aperçue non par les vêtements, des passants ni par le circuit des hirondelles
Ou les cygnes au fond du parc
Mais par les gants que portent une fillette
En jouant sur les chevaux de bois
La mine contrite et la goutte du nez qui devient rouge //

Bonsoir Richards,

Une belle histoire narrée avec talent !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

bravo à votre plume qui conte avec grand talent

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