Ô toi, terre du soir,
voici l´heure du loup,
qui pour toi se joue
du rouge et du noir.

Beauté divine,
La nuit s'avance
et j'y vois la danse
des ombres sibyllines.

Quand dans l'oeil de ce jour
l'horizon se referme,
dans le ciel je savoure
cette pourpre lanterne.

Quand la terre ancre le soir,
oui, ce n'est pas la savane
et sa faune qui se dessinent,
mais des âmes qui se pavanent,
et les faons sur la colline.

J'aimerais bien connaitre l'endroit pour aller m'y promener.

Amitiés.

Bonjour Fried,

De somptueuses images poétiques !



Belle journée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

C'est très joli !

Céline

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Bonsoir Fried

Un paysage envoutant que votre poème nous invite à découvrir.

Amicalement Franie

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quelle merveilleuse ambiance

comme j'aimerais me promener ainsi

c'est si beau:

"Et les faons sur la colline" - ce seul ver est génial
cela chante en moi

je pense à un passage des "Enfants de septembre" de Patrice de la Tour du Pin :

"Et ce désir que j'ai de courir dans la nuit sauvage ayant quitté l'étouffement des chambres"

je rêve

merci à toi Fried

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Bonjour FRied un magnifique tableau de maître.
Mon amitié.

Capricorne

Merci à vous tous pour votre lecture et commentaire,
merci Selenia, je ne connais pas "les enfants de septembre"
mais oui il m'arrive d'avoir se désir : "Et ce désir que j'ai de courir dans la nuit sauvage ayant quitté l'étouffement des chambres"

C'est beau.

Amitiés,

Line

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Se soucier de l'orthographe, petite chose futile, c'est faire acte de résistance.

C'est très beau
Merci Fried
Keraban

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J'aime la poésie qui me parle et qui chante

Lire plusieurs de mes livres : récits, roman, polar, essai, poèmes :
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merci pour ces belles images