Au bal des masques, Ô ma vénérable!
J'ai dansé avec Astrée.
Nos cœurs se sont aimés
Dans des ténèbres redoutables.

Aux lueurs du petit jour,
J'ai ramassé mes vêtements.
J'ai quitté la ville et ses faubourgs.
J'ai regagné mes appartements.

J'ai vite oublié Astrée
Lorsque j'ai retrouvé Aphrodite
Dans des nuits et des rites
A sortir du lit Morphée.

Puis satisfait, repu et fatigué,
J'ai fait des songes somptueux.
J'ai rêvé de nuages blancs et de ciel bleu,
De mondes merveilleux et de contes enchantés.

Ô Reine ! Ma belle et douce muse !
Tendez-moi vos bras !
Gardez-moi dans vos draps !
Afin que vienne l'oubli des villes et de leurs rats.

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j'aime beaucoup bravo
amicalement
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Merci beaucoup surtout pour cet accueil chaleureux. Bonne plume.

Très chouette votre poème Faustin; il nous fait un peu revenir aux temps d'antan, mais pas seulement ça: Il est gai et amoureux.

Bravo.

Bonsoir faustinyavo, un bal qui nous offre une jolie évasion poétique !

Bonsoir, très beau poème, un bal des plus festif

Amicalement

Merci pour toutes ces appréciations. Toutes mes amitiés.