Un panier sans fond
Comme dans un grand panier sans fond,
Il puise ses idées qui sont des maillons,
Maillons d’une infinie chaine consistante,
D’histoires plus ou moins vrais, attirantes.
En prose ou en vers, il n’y a pas d’option,
Ecrire c’est une drogue, c’est une passion.
Plutôt que le pupitre, il préfère la plume,
Le porte plume et l’encre parme qu’il hume.
Des heures Ă maculer ses feuilles de papier,
Raturer, réécrire autrement, encore raturer,
Jusqu’à discerner la chute, c’est sa marotte,
Sans précipitation, libre et sans menottes.
Les nuits lui paressent des instants si courts,
Il a tant d’images dans la tête, quel parcourt.
Parfois, tout s’emmêle, il se sent impuissant
Devant la feuille blanche mais il est battant.
Quand tout se régularise dans son bel esprit,
C’est avec ferveur qu’il peut débuter ses écrits.
Alors plus rien ne l’arrête, et il se plait à noircir
Ses montagnes de feuilles avec un grand plaisir.
CHRIS Pour vous
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chris pour vous
salutations