Mon fils ISHAK.
I – innovant, tu essayes de voir toujours au loin.
S- sans jamais échouer ? Les rêves se réalisent !
H- honnête, sois ! L’enfant exemplaire.
A- avec tant de résolution, l’échec n’est pas possible.
K- kilos de chagrin et d’inquiétude habitent ton cœur.

Là où tu étais, Je te regardais quand tu étais bébé.
Tes joues plus belles que le feu du ciel,
Je goûtais tes lèvres plus sucrée que le miel,
Tu étais trop beau ou bel.
Reste avec moi, les jours passent,
Je sais que toute chose ne reste à sa place.
Tu pars ? Où pars –tu ?
Je serai le papillon et tu seras mes ailes.
Tu es le feu et je suis la chandelle,
Tu ne peux me laisser seul dans ce monde cruel !
Et tu pas ! Où pars –tu ?
Je te pleure nuits et jours,
Sans toi , je peux me retrouver au fond d'un gouffre.
Sans eau, sans couleur et sans odeur.
Seul question dans la tête "pourquoi tu pars?"
Je t’ai vraiment aimé quand tu étais tout petit.
Et je suis pour toi pour toujours.
Tu te perchais sur mes bras
Comme un chardonneret aux cimes des bois.
Tu me chevauchais le cou
Et tes cheveux lisses, pendaient sur tes joues
Je te portais comme un sceau sans anse et sans repense.
De temps à autre, je te caressais et je t’embrassais.
Malgré cela, je n’oublie pas les petites fessées
De ma mémoire, je ne peux effacer.
Là, où je te trouvais,
Sans me lasser ; je t’embrassais.
Et partout tout, tu me tenais compagnie.
Je t’avais choisi comme meilleur ami..
Des jours passèrent, des jours outrepassèrent.
Aucun malentendu ne survient pour me fracasser cette tendresse.
Les Judas ne peuvent courir pour s’embrasser.
Sois sobre, fais la sourde oreille.
Le rétablissement d’être humain, bon, te donnera du bien.
Pour que les autres ne comprennent rien.
Etre fâché pour un rien est aussi si vain.
J’essaye de te gagner et non te t’égarer.
Quand on se croise, je me dispose toujours de te voir en face.
De crainte, tu me surpasses.
Je me suis agencé pour toi pour ne rien gâcher
Je t’aime énormément, je ne le sais comment.
C’est la vie, tout est ainsi.
Pourtant je te l’ai dit, de moi, tu fais partie.
Je ne veux pas qu’on se sépare,
Toi et moi, et toute la famille aurons trop de mal.
J’aimerais qu’on s’embrasse et de notre bonheur on entasse.
Jetons dires, enterrons épées et toutes armes de désespoir.
Quoi qu’il en soit, quoi qu’ils disent :
Pour nous, la famille est une devise
Alors ! C’est à toi d’être sage,
Change, tourne la page.
Et que Dieu le plus puissant t’aide et te protége.

Ton père OMAR : le 24 / 11 / 2009

Merci de nous faire partager ce joli poème pour ton fils...
Sophie.

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"Cependant c'est le seul qui ne me paraisse pas ridicule. C'est, peut-être, parce qu'il s'occupe d'autre chose que de soi-même."A.de Saint-Exupéry.

"Le chemin vers le bonheur : gardez votre coeur libre de haine, votre esprit libre de tout souci. ...

Magnifique manifestation de la fibre paternelle !

que dieu te protège pour ta famille magnifique poème plein de tendresse

amicalement leila

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