Re: Les predateurs.
Ah ! Voilà un poème qui me touche particulièrement !
Lorsque j'étais enfant (une dizaine d'année) j'allais passer les grandes vacances chez mes grands parents qui avaient une ferme.
Or, j'avais plus que sympathisé avec un petit veau, qui me suivait comme un petit chien et nous avons passé d'adorables journées tous les deux dans les prés... Avec ses grands yeux et sa langue rapeuse nous avons partagés de beaux moments d'amitié. C'était
mon copain !
Quand je suis revenue aux vacances suivantes...il n'était plus là !
l'abattoir était passé par là ... je ne te dis pas mon chagrin !!!!!!!!!!!