C'est un bien gentilhomme
Qui ne voulait pas grandir
Se voulant dans l'enfance

Croyant sauver son devenir
Voulant braver toute croyance
Peur de sembler à un fantôme!

Seul, bien seul, il hèle ses amis
Pour qu'à son secours s' affairent
Mais, voilà, demeurer un môme

N'est pas si aisé, et penser la vie
Avec une âme saine peut déplaire
Car l'homme n'est pas comme

Il prétend l'être, serein et vrai
Souvent il ment, et grâce l'enfant
Se cache derrière des tourments!

Ce pauvre être humain mendiant
N'a pas compris qu'avec le temps
La sagesse dépasse la triste vérité!

Celle qui l'empêche d'assumer
Sa triste et si morne réalité
Tout en bafouant les droits

Des malheureux qui ont croisé
Son chemin;il va défié les lois
Et détrôner ceux qui croyaient l'aimer!

Comme il y a des bons mots et de grandes vérités,
il est sublime, j'ai failli passer a côter,
joyeuses fêtes

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Merci bel Ange,

Je te souhaite mes voeux les meilleurs Angiee, du bonheur la santé de l'amour et la prospérité!!


Pleins de bisous

Ton poème, si besoins était, me conforte dans le sentiment que l'homme restera pour la femme toujours un enfant.
HONORE

Merci Honoré pour ton passage sur mon écrit

Heureuse que ce dernier te réconforte